Les dernières chroniques

Couverture Stay, tome 1 : Avant que tu partes Editions Harlequin (HQN) 2017 Couverture Wild love : Bad boy & secret girl, tome 6 Editions Addictives (Adult romance) 2017 Couverture Bad, tome 4 : Amour immortel Editions Harlequin (&H) 2017 Couverture Wild love : Bad boy & secret girl, tome 5 Editions Addictives (Adult romance) 2017 Couverture Au coeur du danger, intégrale Editions Harlequin (Black Rose) 2017 Couverture On the road with you Editions Addictives (Luv) 2017 Couverture Sea, sex and me !, tome 4 Editions Addictives (Adult romance) 2017 Couverture Fast games Editions Addictives (Luv) 2017 Couverture Wild Love, tome 4 : Bad boy & secret girl Editions Addictives (Adult romance) 2017

mercredi 5 octobre 2016

Bad Tome 1 Amour Interdit de Jay Crownover

Aujourd'hui, je vais vous parler de Bad Tome 1 Amour Interdit de Jay Crownover publié aux Editions Harlequin le 9 mars 2016.


Ma note : 3.5/5 Bon moment

Mon avis :
Il y a quelque temps, j'avais lu l'extrait, je n'avais pas adhéré au style, à l'histoire. Mais, après avoir lu beaucoup de critiques positives, je me suis lancée et je ne regrette pas, j'ai passé un bon moment.

Bienvenue à The Point une banlieue malfamée où il faut survivre pour vivre. Nous y rencontrons Bax qui vient de sortir de 5 ans de prison et qui part à la recherche de son meilleur ami pour avoir quelques explications sur sa condamnation. Lors de sa quête, il rencontre Dovie, la sœur de Race. Malgré leurs différents, ils vont devoir coopérer pour retrouver Race. 

Très souvent dans les romances New Adult, le terme Bad boy est utilisé pour décrire un personnage masculin, tatoué, homme à femmes, charismatique, avec un passé très lourd mais pas criminel,  ici, Bax est un vrai Bad Boy, méchant, immoral, tatoué, ex-prisonnier et ne compte pas se repentir. Bax préfère cogner que parler, il est  un gros dur et il le porte sur lui mais lorsqu'il est avec Dovie, il devient Shane, un homme qui peut se montrer attentif et tendre.  Bax est un anti-héros mais l'auteure a réussi à le rendre attachant , il évolue tout au long de l'histoire.

Dovie est une jeune femme qui a toujours connu la misère, abandonnée par son père, reniée par sa mère, elle se débrouille comme elle peut, son frère va s'occuper d'elle jusqu'au jour où il disparaît en lui demandant d'attendre Bax. Dovie ne se fait pas remarquer, s'habille comme un homme, ne sort pas avec les hommes de son quartier, se fait discrète. Malgré son vécu, elle est restée ouverte, avec de l'espoir mais  elle n'est pas dupe et connaît aussi la violence et sait se défendre si besoin. Dovie est aussi une héroïne a mille lieu de celle que l'on a l'habitude de rencontrer, elle n'est pas féminine, ne tombe pas en pâmoison devant "son homme", a du caractère mais n'est pas capricieuse. Elle a peur de Bax mais arrive à voir son "bon" côté. Dovie est un personnage attachant, elle nous donne envie de la suivre, de la soutenir et de l'accompagner.

Le troisième personnage principal est The Point, la ville est un personnage à part entière, j'avais l'impression d'être dans les décors du film Sin City, une ville en noir et blanc avec des tâches rouge sang, cette banlieue est le témoin des bagarres, de  vengeance, de  vulgarité et de sexe mais aussi de l'évolution humaine suite à des rencontres.

L'histoire entre Bax et Dovie est différente, Dovie n'est pas tombée amoureuse en 10 secondes, il n'y a pas de mot d'amour mielleux, ni de déclaration enflammée, leur relation est chaude mais va évoluer au fil du temps. 

La plume de l'auteure manque de fluidité, elle est sombre, un peu vulgaire - mais cela va avec environnement. Je fus déstabilisée au début de ma lecture par les côtés sombre et immoral mais j'ai lâché prise et je me suis laissée portée et fus emportée. L'auteure a réussi à ne pas tomber dans les stéréotypes, elle a appliqué la recette pour nous rendre accro à Bax, Dovie et à The Point. 

Bref, malgré petits quelques défauts, ce 1er tome est une histoire unique, addictive avec des anti-héros attachants, je vais lire la suite car je ne peux pas laisser The Point.


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire